Mocakafe [Quête : Ô douce Mathilda]

Bien avant de sortir de la ville, je poser quelle que questions aux nombreux PNJ au abord de la porte, concernant surtout l’endroit ou pourrais habiter cette sois disant Mathilda mais aucun n’était en mesure de me répondre.

Un jeune joueur, probablement pris de pitié pour moi, m’indiqua ou la trouver et surtout… Comment utiliser ma map.
Je balbutié un remerciement dans un japonais complétement désordonné et honteux de mon manque de connaissance je filer droit vers les plaines, l’épée sur l’épaule.

Après cinq minutes de marche, j’escalader une petite colline qui donner une bonne vue sur une partie de la plaine, une fois atteint le sommet, je me surpris à être ébahis.
Le spectacle qui se trouvait devant moi était magnifique et je restais ainsi plusieurs minutes à observer la plaine, le silence simplement brisé par le bruit du vent.

Finalement, je repérer l’étang indiquer par le jeune homme de tout à l’heure un peu plus loin en contrebas et descendis donc la colline le pas trainant, rien ne me pressant.

Je fis le tour du petit bosquet, par peur d’y rencontré des habitants peut sympathique et m’arrêter net devant la maison de la dite Mathilde avant de toquer à la porte.
Quand elle ouvrit, je lui tendis la lettre avec ces quelle que mots :

« Mathilda je présume ? Enchanté mademoiselle, j’ai était missionner afin de vous quérir cette lettre, je ne connais pas le nom de son propriétaire malheureusement. »

Je rougit un peu par peur du ridicule, la femme qui se trouvait devant moi n’était qu’un amas de pixels après tout.

Mathilde haussa un sourcil. Elle était en train de faire la cuisine, et avait son rouleau à pâtisserie dans la main, menaçante. Elle lut rapidement la missive, et son visage devint rouge de colère.

«Si ce lâche veut me dire quelque chose, qu'il vienne me le dire lui-même ! Envoyer un aventurier pour ce genre de choses... Rah ! Toi, si tu veux être dédommagé pour ta peine, va me récupérer des Baies d'Artha, au nord d'ici. Les buissons sont rouges, et les baies noires comme la nuit. Une vingtaine devraient suffire. Et plus vite que ça !»

Je lâcher un soupir le plus discrètement possible, c'était certes une intelligence artificiel qui avait probablement un comportement type et qui ne comprenais même pas la signification de mon soupir, Mais qui sais ce que ce tordu qui nous à emprisonner avait pu concocter comme farce ?

"Madame, je vous apporterais vos baies le plus rapidement possible"

J'étais plutôt content de moi, le soupçon d'agacement dans ma voix était à peine perceptible et ma courtoisie, malgré ma peur et mon anxiété, n'avait pas disparue.
J'observer rapidement la grosse Mathilda, et sourie bêtement à la vue de son rouleau à pâtisserie, si je la jouer finement, l'objet inconnue offert pour la réalisation de la quête serai peut-être une recette ?

Je repartis donc le pas un peu plus léger vers le bosquet que j'avais contourné quelles que minutes plus tôt
J'étais sûr d'avoir aperçu un des dit buissons rouges dans ce coin là et je ne m'étais visiblement pas tromper, une belle rangée de ce buisson flamboyant me faisais face et les baies noir aux allures succulente brillé à la lumière des dernières lueurs de soleil.

Fière de ne m’être pas perdu pour une fois, j’avancer beaucoup plus rapidement vers les buissons, impatient de finir la quête qui m’avais était confier. Arriver à leur hauteur, je déclencher l’action de récolte et me mis à genoux afin d’en récupérer une entre mes doigts, je tourner et la retourner délicatement dans tous les sens, l’examinant sous toutes les coutures, satisfait, je la ranger dans une petites besace et j’en récupérer une seconde qui subit exactement le même traitement, je savais comme il était important de choisir les meilleurs ingrédients quelle que soit le plat, comme me le répéter ce foutu paternel « Un bon plat c’est 10% d’amour, 40% d’savoir-faire et 50%  d’bon ingrédients p’tit con !»

Je continuer donc ainsi  ma tâche d’examinassions, mon esprit vagabondant de souvenir en souvenir.

Alors que je ramassais les baies tranquillement tout en les examinant et en me demandant quel goût du monde réel elles pouvaient bien avoir, un sanglier des plus énervé sortait des buissons pour me foncer dessus.

L'impact était si violent que le sanglier m'envoyait valdinguer quelques mètres plus loin, retourné sur le dos.
Je me redressais tant bien que mal, le coup qu'il m'avait infligé était plutôt violent et au vu de l'icône rouge qui ornait sa tête, il ne servait à rien de le raisonner. Par pure habitude, je tâtonnais l'endroit où le sanglier m'avait embroché, la douleur était atroce, mais je n'avais visiblement rien de cassé, les blessures n'étaient donc pas aussi grave que dans notre monde, si un vrai sanglier m'avait chargé, je serais probablement déjà mort les côtes défoncées.

Je reprenais mon souffle et examinais la situation comme quand je dirigeais ma cuisine.
Quel était le problème ? Le sanglier.
Comment le résoudre ? A bon coup d'épée.

Je sortais donc ma lame de mon fourreau en déglutissant, il avait beau ne pas être réel, pour moi il l'était tout autant que dans notre monde et je me demandais si Kyaba n'avait pas justement fait exprès de nous faire mesurer à des bêtes connues de notre monde en tout premier lieu pour nous le faire regretter d'avance.

Je m’avançais pas à pas vers lui, attentif, mon épée brandie devant moi comme je l'avais vue faire au cinéma à maintes reprises et dès que je fut à porté, je lui assénais un coup sur le flanc gauche. La sensation était étrange, j'avais vraiment l'impression de transpercer le cuir d'un sanglier et un frisson me parcourait l'échine.

Combien de créatures si réelles devrais-je frapper et tuer avant de pouvoir espérer sortir d'ici ?...

Je secouais la tête et me recentrais sur le combat, je devais effacer de ma tête tout sentiment en pleine bataille, c'était un combat à mort et je ne devais pas l'oublier.

Après mon coup réussis, je regardais instinctivement la barre de vie de l'animal, un peut plus de la moitié de sa vie ?

Malgré moi un petit sourire vint éclairer mon visage le temps d'un bref instant, si les monstres n'étaient pas invincible, il restait un infime espoir de sortir d'ici et je comptais bien y parvenir.

Le sanglier lui par contre, ne semblait pas du tout ravi d'être blesser et me fonçais visiblement dessus avec dans l'idée de me rendre le coup que je lui avais porté en un peut plus meurtrier.

Dommage pour lui, je n'avais aucune envie de mourir aujourd'hui et encore moins après avoir étais piétiner et transformer en bouillis par un phacochère.

Je n'avais pas vraiment le temps de réfléchir à une quelconque stratégie et décider donc de me décaler suffisamment sur  le coté quand je jugerais que le sanglier ne pourrais plus changer de direction pour ne pas me le prendre en pleine poire, je ne savais pas si cela aller marcher, les sangliers peuvent-ils dévier de leur trajectoire une fois leur charge lancer ?

Une fois que je me serais décaler, je lui appliquerais un coup d'épée par derrière quand il ce seras stopper, il était trop rapide pour moi et essayer de le toucher en pleine charge tout en me décalant n'était disons... Pas vraiment dans mes cordes, je n'était de toute façon pas un grand combattant après tout.

Bien sûr, c'était le meilleur scénario envisageable, si le pire devais arriver, je m'était promis de balancer mon épée dans tout les sens afin d'essayer de le toucher.

A ce moment précis, je me sentais t-elle un Torero dans l’arène et je me demander au fond de moi si j'allais devenir un Matador en achevant la bête...

... Ou bien périr lamentablement.

Comme mon plat renversait quelles que heures plus tôt à l'auberge, le sanglier disparue dans une gerbe de triangle bleutée, ce qui, je le comprit bien vite, signifier la victoire !

N'y tenant plus, je lever mes bras en l'air en guise de contentement et exaltée mon bonheur et ma chance d'avoir survécu en poussant un bon cri, le genre de cri qui vient du cœur que seul les Hommes qui on fait face à une mort certaine peuvent pousser.

Puis, prit par le jeu, Je ramenais mes mains vers moi comme si une foule en délire  
m'acclamait et je m'exclamais :

<< Sì, sono io, il matador Marco Battistini !

Je restais ainsi quelles que secondes avant de me rendre compte de la stupidité de mon action, me frottais l'arrière du crâne dans un soupire et me remettais en tailleurs afin de dénicher les perles rares parmi les baies, tout en vérifiant qu'un autre de c'est cochons enrager ne me saute pas dessus depuis les buissons alentour, un combat de toredor me suffisais amplement...

J'hésitais un instant à prendre plus de baies que nécessaire, mais plusieurs choses me firent rapidement renoncer, déjà je ne savais pas si une autre bestiole n'aller pas me fonçais dessus et me piétiner et puis, je n'avais aucune idée de ce à quoi elles pouvaient bien servir.

Dépiter, j'en récupérais tout de même deux de plus que je fourrais tant bien que mal dans une petite sacoche en cuir, prêt à demander des explications à l'énorme Mathilde.