Il était tard quand le padrè italien ouvrit une nouvelle fois la lourde porte en chêne de la taverne, d'ailleurs, elle n'était probablement pas en chêne, le game master ayant sans doute pris soins d'inventer complètement un nouveau monde, après tout, le but n'était-il pas de construire un nouvelle univers ?
Mais tout cela lui passer par la tête, ce que le créateur avait voulus faire de cette endroit était le cadet de c'est soucis, l'Italien inspirer seulement à retourner dans le monde réel, là ou ça vie avait brusquement était arrêter pour accomplir le rêve d'un gosse immature.
Le cuistot jeta un regard moribond à la salle bonder, dans l'autre monde il n'était pas coutumier des débits de boissons, pour lui, c'était un repère d'ivrognes et de future mendiant ou la boissons étaient tièdes et la nourriture dégueulasse, c'est défenseur appelez cela de la cuisine de « bistrot », il appeler cela de la nourriture de fast food, en moins bien. Ce qui était bien avec le fast food, c'est qu'il savait qu'il allait manger un truc immonde, tandis ce que la cuisine de bistrot ce donnait des air qu'elle n'avait pas.
Il secoua rapidement sa tête avant de ce déplacer lourdement vers un siège libre au comptoir et il commença à trifouiller dans l'onglet artisanat de son interface. Marco avait beau vouloir rentré chez lui au plus vite, une infime petite part de lui susurré à son âme qu'ici il pouvait être un pionnier de la cuisine gastronomique.
Après avoir feuilleter dans les recettes, il déposa devant lui une dizaine de baies d'Artha sous le regard de plusieurs joueurs curieux puis hésita un long moment avant de sélectionner la recette de « confiture d'Artha » et d'écrabouiller de sa paume, les dix baies sur le comptoir.
Qu'elle ne fut pas son étonnement lorsque les dix baies bien écrabouiller ce transformèrent en un jolie pot en verre remplis de confiture.
L'aspect était là, mais le goût était il à la hauteur ? Ni une, ni deux, il ouvrit le petit pot et à l'aide d'un doigt en goûta un peut.
Elle avais un petit goût acidulé pas désagréable mais ce n'était pas non plus la meilleur confiture que le cuistot n’eus jamais préparer, sans doute le goût était-il à la hauteur du niveau de cuisine ?
Ravi et en même temps déçu de son premiers essais, Marco observa la salle autour de lui à la recherche d'un...Cobaye, il était simplement bon d'avoir un avis extérieur, surtout de la part d'un ou d'une inconnue, aussi après avoir repérer sa cible, un jeune homme brun au regard fatigué, il se dirigea vers lui de son pas d'ours et s'installa à sa table, juste en face du joueur.
« Alors... Jeune et déjà fatigué hein ? »
Il sourie un peut, sa barbe parfaitement bien rasé et c'est cheveux impeccable donner toujours une bonne impression de cette homme là, c'est du moins ce qu'il penser.
« Désoler de t'interrompre pendant que tu somnole, mais tu m'avais l'air d'un bon candidat pour goûter... ça »
Il désigna le pot en verre remplis de confiture qu'il poussa vers le jeune joueur, devant le regard intriguée du jeune homme, il continua de parler.
« Excuse moi, c'est vrai qu'ainsi tu puisse me prendre pour un fou... Mais ce n'est pas le cas, en vérité, je suis cuisinier dans notre monde et quitte à être bloquer, j'aimerais parfaire mes connaissance culinaire dans celui ci et comme tu à beaucoup de chance c'est toi que j'ai choisie pour être le goûteur de ma toute première recette. »
Il rit un bon coup avant de ce frotter la barbe.
« Bien sûr, rien ne ce fait gratuitement et en échange de ton service, je te promet de t'offrir un future bon repas gratuitement à mon.... Que dis-je, mes futures restaurants ! »
En vérité, le cuistot ne savais même pas si il était possible d'ouvrir un commerce alors sur la question d'en ouvrir plusieurs, c'était encore plus nébuleux mais il n'avais jamais vraiment penser à ça, par peur de perdre tout espoir et de perdre sa combativité.
« J'oublie encore de me présenter, je suis Marco, Marco Batisstini, chef quatre étoiles en italie et seulement apprentie cuisinier ici ! »
Il tendit sa main vers le joueur, il n'avait décidément pas l’habitude de ce faire appeler par son pseudonyme.