Aincrad Chronicles
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Aincrad Chronicles

Prisonniers d'un jeu mortel, votre seul espoir de vous en sortir est de finir le jeu Sword Art Online. Seul hic : vous pouvez vraiment mourir.
 
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 Adrix

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Adrix
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Adrix


Messages : 7 Date d'inscription : 30/03/2015
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Adrix Empty
MessageSujet: Adrix   Adrix EmptyMer 1 Avr - 23:03


Données de Adrix

Nom Véritable : Nao Viyers
Surnom en Jeu : Adrix
Âge : 34 ans
Sexe : Volontiers (♂) (
Groupe souhaité :Joueurs
Résultat Bêta-Test : 10


Aucun masque sur l'Aincrad
Haute stature, épaules carrées et traits creusés par un âge qui commence à s'installer, Adrix, Nao de son vrai nom, n'a pas vraiment le profil type de l'adepte du MMO. C'est même non sans une certaine fierté qu'il cultive une image inverse, plus sportive et en phase avec ses capacités physiques. Et d'ailleurs, au vu de sa musculature prononcée, on dire que c'est là l'unique domaine où ses efforts se sont avérés payants... Quel dommage que son seul succès se loge dans une poussée de vanité. Vanité qui lui est soit dit en passant bien utile depuis que l'épée a remplacé la plume dans ses mains.

Maintenant que ce squelette bien fourni est en place, il est temps de jouer avec le zoom pour s'intéresser à la tronche de notre bonhomme. Et là encore, il a connu des jours plus disgracieux. S'il est loin d'être joli garçon, avec son air de clébard féroce, Adrix n'en possède pas moins un genre de charme mûr qui n'est qu'accentué par l'éclat grisonnant de sa tignasse. Car oui, hélas, alors qu'il n'a même pas la quarantaine notre chevalier d'opérette fait partie des quelques chanceux à profiter d'une décoloration précoce de son ensemble capillaire. Y voyant comme un genre d'ultime mauvaise blague de la part de son organisme, le gaillard a fini par abandonner la lutte contre sa pilosité et s'est laissé poussé une barbichette négligée qu'il en est venu à apprécier. C'est que, voyez vous, on a tout de suite l'air plus sérieux lorsque l'on réfléchit en se triturant distraitement le menton à la manière d'un vieux philosophe de l'antiquité. Et puis, il ne déteste pas faire vieux plus vieux que son âge.  
Une impression générale que son regard se fait un devoir de contredire et de confirmer à la fois. Difficile en effet de déchiffrer ce qui bien défiler derrière ce regard aux reflets azurés. La plupart du temps, ce qui s’y reflète ne semble pas bien glorieux. Mélange savant de maladresse, d’arrogance et de cupidité, Adrix ne semble jusque là ne posséder pour lui qu’une énergie palpable et une joie de vie presque agaçante. Il suffit cependant de s’attarder un peu pour réaliser qu’il y a plus au personnage qu’un bouffon prétentieux. Car ce n’est pas de l’assurance qui se loge dans les iris du chevalier vieux avant l’âge, mais simplement de la hargne. Une envie mordante de s’en sortir malgré les difficultés et qui voile ses insécurités derrière un masque de superficialité.

L’ensemble de son accoutrement est d’ailleurs en phase avec cette image forte qu’il essaie de projeter à autrui. Fi de la légèreté et de la finesse, Adrix se carapace derrière les armures les plus épaisses et se drape dans une cape violette qui n’a d’autres intérêts que celui d’être grandiloquente. Et bien sûr, un grand gugus musclé recouvert de ferraille ne serait pas complet sans une préférence marquée pour les armes disproportionnées… Non rien à compenser promis !



Je pense donc je suis. Mais où ?
On dit souvent que les gens ont plusieurs facettes, plusieurs visages qui cohabitent au sein d'une âme unique. Et bien ce proverbe tend à être prouvé par l'existence de types comme Adrix.

Au premier abord, le portrait que l'on dresserait du chevalier wannabe n'est pas des plus resplendissants. Pourquoi ? Et bien, principalement parce que cet homme est un frimeur qui ne souffre d'aucun rival pour ce qui est de la ramener. Prétentieux, agressif, arrogant et, hélas, doté du don de la parole, il ne se passe pas un instant sans que notre zéro ne cherche à se mettre en valeurs en chantant seul ses propres louanges. Ce qui ne serait peut être pas si énervant s'il y avait bel et bien de quoi se vanter. Or Adrix est un looser. Un raté de première catégorie dont la vie se résume à une succession d'échecs et autres coups de malchance. La moitié des exploits dont il s'attribue le mérite ne sont que pure fiction, et l'autre moitié s'est déroulée de manière bien plus stupide qu'il ne veut le laisser croire. Ce n'est pas qu'il manque de motivation, ni même d'ambition pourtant. Bigre, à l'entendre il serait prêt à décrocher la Lune pour une miette de gloire. Et dieu sait qu'il a de l'énergie à revendre, sans quoi il serait moins souvent nécessaire de l'arrêter quand il débite des âneries. Non, le problème se loge plutôt dans une poisse presque viscérale et dans une tendance prononcée à prendre les mauvaises décisions au mauvais moment. Adrix est un fonceur qui charge avant de réfléchir et réalise seulement en cours de route qu'il eut été plus avisé d'éviter de laisser son sang lui monter à la tête de la sorte. Combiné cette tare avec une ambition certaine, un côté obstiné qui le pousse à suivre un code pseudo chevaleresque et une cupidité palpable, et vous comprendrez aisément pourquoi il est si souvent l'architecte de sa propre déchéance.

Le problème de cette arrogance apparente c’est qu’elle trouve en fait ses racines dans un sinistre manque de confiance de foi qui gangrène Adrix comme un virus depuis longtemps. Persuadé d’avoir détruit sa vie par sa seule incompétence, le pauvre homme cherche à panser les plaies de son estime de soi en rajoutant une épaisse couche de vantardises et d’égo falsifié. Un genre de comédie qui sert de remède à ses échecs personnels.
Et c’est ce même défaut de confiance qui engendre chez lui cette agressivité à fleur de peau qu’il exprime au travers des affrontements de l’Aincrad. Se battre lui offre, l’espace d’un bref instant, un sentiment d’exister de manière concrète. Quand un monstre tombe sous ses coups, il a l’impression d’avoir accompli quelque chose, d’être quelqu’un qui apporte sa pierre à l’édifice. Alors Il s’acharne tout en cherchant des réponses, à la fois sur les motivations de ce génie fou que sur ses propres raisons de lutter. Il se cherche au travers des combats, explorant sa détermination pour trouver une fois pour toute sa voie.

Alors quoi ? N'y a-t-il donc là qu'un pauvre type qui cherche à compenser ses échecs passés en jouant les grandes gueules ? Une brute arrogante qui fonce comme un demeuré ? Oui, il y a de ça, mais pas seulement. Grattez donc un peu la surface désagréable et vous trouverez que ce monsieur est un poil plus profond dans ses motivations qu'il n'y paraît au premier regard. Car malgré sa grande bouche, malgré sa soif de reconnaissance et malgré combien il peut jouer les bagarreurs... Adrix est quelqu'un de bien. Derrière le masque de superficialité et la férocité, se loge un homme qui a le cœur sur la main, un brin mélancolique et qui est plus que tout attaché aux gens autour de lui. Le genre qui est prêt à tous les sacrifices pour s'assurer leur bien être. Ce n'est pas pour en récolter la gloire qu'il se jette sur le front avec toute la férocité d'une bête sauvage, c'est pour que personne d'autre n'ait à le faire à sa place. Pour que nul n'ait à subir les tourments que réserve ce monde désigné par un sadique. S’il faut être prêt à prendre la responsabilité de ramener tout le monde sauf à la maison, alors soit, il se sent capable d’accepter ce fardeau. Car si les défaites successives ont enseigné quelque chose à ce héros qui s'ignore, c'est bien la rage de vaincre. Il eut été facile d'abandonner après toutes ses gamelles, mais Adrix s'accroche et se relève, coup après coup. Qu'importe combien les circonstances peuvent être difficiles, ce chevalier là ne compte pas déposer les armes avoir d'avoir arraché la liberté pour les prisonniers de l'Aincrad.

Sur une note plus légère, Adrix se distingue par deux choses autres que son égo boursouflé et sa générosité enfouie. En l'occurrence, sa capacité à manger des choses qui représentent deux fois et demi le volume normal de l'estomac humain moyen, à fortiori du sucré, et son sens de l'humour aussi loufoque que lourdingue. Il s'avère en effet que si les blagues stupides étaient passibles de peine de prison, Adrix n'aurait jamais eut à s'inquiéter pour son logement.




Once upon a time

Il y a fort peu longtemps, dans une banlieue pas spécialement lointaine, par une après midi d'été dont personne ne se souvient guère si elle était ensoleillée ou troublée par l'orage, un cri fut poussé. Puis bien vite, le hurlement fut rejoint par un second, un troisième et ainsi de suite. Et ainsi commença la longue carrière de cassage d’oreilles d’un homme qui allait devenir terriblement prolifique en la matière.
Les origines de Nao sont somme toute peu intéressantes. Fils unique d'un petit couple installé dans la banlieue de Tokyo, il n'était qu'un gamin comme il en existe des légions dans les salles de classe du Japon. Il n'était ni spécialement brillant ni vraiment mauvais, se maintenant péniblement dans une moyenne dont la médiocrité ne faisait que lui attirer l'agacement de parents exigeants. Il n’était pas promis à grand-chose de passionnant et n’y portait pas grand intérêt non plus, se laissant plus volontiers guidé par ses loisirs, oscillant entre le dessin et les bagarres infantiles entre camarades trop énergiques.

Comme pour beaucoup, c'est lorsque la puberté pointa finalement le bout de son nez boutonneux que les ennuis commencèrent vraiment pour le futur joueur de SAO. A l’époque déjà, Nao pouvait se targuer d’avoir une personnalité bien trempée, forgée par esprit d’opposition à la pression que tentaient de lui imposer ses géniteurs. Aussi, lorsqu’il se découvrit un talent véritable crayon en main, c’est boosté par les hormones et sans hésitation qu’il prit le risque de négliger ses études pour se consacrer pleinement à cette passion nouvelle. Faisant fi des avertissements, il se lança de toutes ses forces dans la bataille, encouragé par les récompenses décrochées aux détours de concours de moindre importance. Déçu par le choix de carrière de leur rejeton, ses parents l’invitèrent à choisir son propre appartement à la première occasion, se débarrassant fort vite de ce fils avant qu’il ne devienne un fardeau.

Les années passèrent et le garçon se changea en homme. Et pendant un temps, les choses se déroulèrent exactement comme Nao l’avait espéré. Doucement mais sûrement, ses talents se peaufinèrent tandis qu’il commençait à gagner sa croûte au travers de son art. Un vrai pied de nez envers la médisance de ses parents vis à vis de ses ambitions. Son train de vie était certes modeste, mais il n’avait pas à se plaindre. Il parvint même à se fiancer avec une de ses anciennes camarades de lycée et ils décidèrent de fonder ensemble une famille. Tout s’annonçait radieux dans la vie du petit mangaka qui, bientôt, aurait une troisième bouche à nourrir au fil de sa plume.

Mais il bien connu que le destin est une entité avec un sens de l’humour douteux. La main invisible de Dieu ne vous offre des choses que pour mieux les reprendre ensuite. Car le petit succès de Nao s’avéra être de bien courte durée. Comme un glas sinistre sonnant le déclin de sa vie, l’arrivé d’un nouveau talent sur le marché incita son éditeur à lâcher notre bonhomme en exploitant une faille logique dans son contrat et le dessinateur se retrouva sans personne pour publier ses travaux.

Au chômage et bientôt père d’une petite fille, Nao se retrouva bien vite submergé par un raz de marée de stress. Paniqué, il s’avéra incapable malgré ses efforts de trouver un nouvel employeur. Alors, bien décidé à assumer malgré tout les besoins de sa famille, il décida, la mort dans l’âme, d’abandonner un temps son rêve pour gagner sa pitance avec des petits boulots à droite à gauche. Mais un artiste ne peut survivre longtemps une fois qu’on lui a coupé les ailes. Cette nouvelle façon de vivre dépouilla peu à peu le jeune homme de toute son énergie (et de la pigmentation de ses cheveux). S’enclencha alors un cycle vicieux de chôme et de dépression, chaque fléau alimentant l’autre dans une spirale interminable.

Confus, incapable de trouver sa place dans cette société évoluant sans cesse, le jeune homme commença à sombrer dans un genre de frénésie. La frustration accumulée de ses tentatives ratées avait besoin de s’évacuer, et il commença à basculer sur une mauvaise pente. Ses fréquentations se firent plus douteuses et ses virés nocturnes plus nombreuses. Il devint plus agressif et sa colère envers lui-même fini par se détourner envers ceux là mêmes pour qui il aurait tout sacrifié. Il devint un homme méprisable, noyé dans ses propres problèmes.

Alors elle le quitta.

Un soir, alors qu’il revenait d’une sortie bien arrosé, Nao se retrouva nez à nez avec un appartement à moitié vidé de ses affaires et une petite note lui annonçant le départ de celle qu’il aimait. Elle retournait vivre chez ses parents, le temps de se trouver un travail et d’élever la petite dans un milieu plus serein. Et il réalisa enfin qu’il avait détruit de ses propres mains tout ce qu’il avait combattu pour sauver.

Le départ de sa fiancée fut pour Nao un véritable choc émotionnel et l’occasion d’une sérieuse remise en question.  Qui était-il désormais ? Que voulait-il faire des fragments de sa vie brisée ? Qu’était seulement capable de faire désormais ? La colère était toujours en lui, terrée comme un fauve au creux de son âme, il pouvait le sentir… Pouvait-il prendre un nouveau départ ? En avait-il seulement le droit ? Il n’en était pas certain, mais il était décidé à tenter sa chance pour, qu’au moins, sa fille puisse être fière de son père.
A défaut de pouvoir s’en débarrasser, il réinvestit sa colère dans des activités plus productives. Il abandonna la boisson et se mit  au sport et reprit sa plume, plus déterminé que jamais à remonter la pente. Mais il lui fallait des idées. Quelque chose pour ramener l’étincelle qu’il avait perdu depuis tout ce temps, un moyen de retrouver qui il était.

C’est alors qu’il entendit par hasard parler du système Nerve Gear et du fameux jeu qui venait avec. SAO, un MMO qui promettait à ses joueurs une immersion parfaite dans un univers fantastique plein d’aventures et de monstres à pourfendre. Il avait joué à beaucoup de jeu de ce genre par le passé, se servant de leurs univers riches comme source d’inspiration pour ses œuvres. Alors peut être que celui-ci renfermait la clé d’une brillante idée de scénario n’attendant qu’à être
Impatient, il parvint à se procurer le jeu au moment de sa sortie et se fabriqua un avatar. « Adrix » serait son nom, en mémoire au héros du premier manga qu’il n’ait jamais écrit dans ses jeunes années.

Sauf que la malchance de Nao ne comptait pas l’abandonner en si bon chemin.

La suite…. Elle n’attend que d’être écrite.




To be or not to be !

Réactions face à l'emprisonnement :

"Ha...Haha... Hahahha..... Vous vous foutez de moi hein ? Pitié dîtes moi que c'est juste une caméra cachée." Suivi d'un bug de plusieurs looongues minutes suivi d'une prise de confiance finale une fois l'information digérée. Après quoi il lui fallut bien trois heures dans une auberge avant de se faire à l'idée que sa chance légendaire avait encore frappée.


Ambitions en Jeu :

Nao a la ferme intention de non seulement voir ce jeu être amené à son terme, mais aussi d'être parmi ceux qui mettrons un point final à ce projet de dément. Bien déterminé à ne laisser personne succomber pour le plaisir sadique d'un malade en manque d'action, il s'est mit en tête de se jeter au front avec l'énergie du désespoir et en profite pour se forger une nouvelle détermination et une nouvelle façon d'être lui même. Du coup, il tend à roleplayer un tantinet cette personna de chevalier en armure cool qu'était jadis le personnage de son manga




Compétences de Départ

Compétence de Classe : Maître Epeiste
Compétence Arme n°1 : Armes lourdes
Compétence Arme n°2 : Cuisine
...



Derrière l'écran
Surnoms/Pseudos : Adrix
Comment avez-vous découvert AC ? Merci Naraliiiiith
Votre première impression ? C'est beaaaau
Parrain ? (Si oui, qui ?) Naralith
Activité (estimation) En général bonne, mais des pics de travail me pousseront à des pauses

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MessageSujet: Re: Adrix   Adrix EmptyJeu 2 Avr - 20:01

Bienvenue Adrix ! Ta fiche fut un véritable plaisir à lire. *-*
J'ai donc l'honneur de t'annoncer que tu es officiellement validé. Il ne te manque plus que de poster ta fiche technique ! Bon jeu, et amuse toi bien sur Aincrad Chronicles. \o/
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Adrix
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